Déversements d’hydrocarbures : le Cameroun affûte ses armes de prévention

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17 Nov 2010 | ACTUALITÉS, News | 1 commentaire

Un atelier sur le lancement officiel du plan national de lutte contre les déversements accidentels d’hydrocarbures  s’est ouvert hier à Yaoundé.
Adolphe Moudiki, l’administrateur directeur général de la Société nationale des hydrocarbures n s’adressant aux sociétés pétrolières exerçant au Cameroun : « Il vaut mieux prévenir que guérir ». Par ailleurs président du comité de pilotage et de suivi des pipelines, l’adg de la Snh s’exprimait ainsi hier, 10 novembre 2010, à l’hôtel Hilton de Yaoundé, à l’occasion de l’ouverture de l’atelier sur le lancement officiel du plan national de lutte contre les déversements accidentels d’hydrocarbures  et de son manuel d’exécution. « Je voudrais interpeller les sociétés pétrolières, principales actrices dans l’exploitation et le transport des hydrocarbures, sans lesquelles les présentes assises n’auraient pas de sens, afin qu’elles intègrent davantage dans leurs activités quotidiennes, non seulement la culture de la gestion des risques de déversement des hydrocarbures, mais également et surtout celle de la prévention de ces risques », déclarait Adolphe Moudiki. 
Le but recherché de cet atelier est la protection de l’environnement. Ainsi, les sociétés pétrolières (Total E&P, Pecten, Sonara, Scdp, Cotco et Perenco), en présence des Ong et de l’administration camerounaise, vont présenter avec des exercices de simulation leur plan spécifique de lutte contre les déversements accidentels d’hydrocarbures. L’Etat, à travers le Comité de pilotage et de suivi des pipelines (Cpsp), présentera son organisation pour la mise en œuvre du plan national de lutte contre les déversements accidentels d’Hydrocarbures et son manuel d’exécution adoptés par décret présidentiel le 29 octobre 2009. L’atelier qui s’achève demain est organisé par le Cpsp en collaboration avec l’Association internationale de l’industrie pétrolière pour la sauvegarde de l’environnement (Ipieca) et l’Organisation maritime internationale (Omi).
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1 Commentaires

1 Commentaire

  1. Anonyme

    je suis surpris avec quelle désinvolture on traite les déversements pétroliers : la toxicité (par inhalation, ingestion, contact cutané), qui est variable selon les produits, est parfois élevée, avec risque cancérogène pour certains d’entre eux, parmi notamment la famille des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dont le benzène.
    voir : La prévention des risques professionnels des hydrocarbures : http://www.officiel-prevention.com/protections-collectives-organisation-ergonomie/risque-chimique/detail_dossier_CHSCT.php?rub=38&ssrub=69&dossid=373

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