Comité catholique : Un réseau de 28 mouvements religieux français

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30 Juin 2009 | ACTUALITÉS, News | 0 commentaires

Parmi les missions de cette Ong française, la sensibilisation de l’opinion publique sur la situation des pays pauvres.

Jusque là inconnu de plusieurs Camerounais, le Comité catholique contre la faim et pour le développement (Ccfd -Terre solidaire) a fait entendre sa voix au Cameroun depuis qu’il a rendu public son rapport sur la fortune de Paul Biya.

Le Ccfd qui se présente comme la première Ong française de développement est un réseau de 28 mouvements chrétiens et services d’Eglise en France. Les services d’Eglise sont des instances créées par les responsables de l’Eglise et soumises à sa hiérarchie. Les mouvements d’Eglise quant à eux sont généralement créés à l’initiative de laïcs. Parmi les mouvements du Ccfd -Terre solidaire, on peut citer l’Action catholique des milieux indépendants (Aci), la Jeunesse étudiante chrétienne (Jec), les Chrétiens dans le monde rural (Cmr) ou encore l’Action catholique des milieux indépendants (ACI).
Sur le site web du Ccfd -Terre solidaire, l’on apprend que l’Ong a reçu pour mandat de la Conférence des évêques de France de mobiliser la solidarité des chrétiens, notamment lors de la période de Carême. « Cette mobilisation est mise au service de ses deux missions : appuyer des programmes de développement, sensibiliser l’opinion publique à la situation des pays pauvres », lit-on sur leur site web.
Doté de 170 salariés permanents, le Ccfd-Terre solidaire s’appuie également sur son réseau de 15 000 bénévoles repartis en France et dans le monde. Créé en 1961, cette Ong française est également chargée d’animer les campagnes de carême : soirée – débats, rencontres avec des partenaires venus des pays du Sud et de l’Est, collecter les dons ou encore promouvoir le commerce équitable. « Si tous les pays du monde affirment s’accorder pour contribuer ensemble à «libérer l’homme de la terreur et de la misère », alors il est inacceptable que des institutions du monde développé reçoivent et profitent de l’argent d’un petit nombre de personnes peu soucieuses du bien de leur population, et ce au détriment des peuples du Sud auquel cet argent appartient de droit et doit revenir (…) », lit-on sur la page d’accueil du site du Ccfd-Terre solidaire. D’où la publication de leur rapport sur « la fortune des dictateurs et les complaisances occidentales » sous l’appellation : « Bien mal acquis : à qui profite le crime ? ».

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